What it is necessary to bring
Your luggage should ideally weigh 12 kg maximum due to the numerous transshipments and portages. We recommend a classic travel bag or a
Pour ceux qui souhaitent éviter le « tumulte touristique » de Nosy Be au retour d’un voyage avec ALEFA et continuer à profiter des charmes de la brousse dans un confort hôtelier associant plusieurs ambiances sur un thème écologique, table d’ hôte, gite nature, nous proposons un duo Alefa – Naturalia lodge. (minimum 4 jours de voyage Alefa + 2 nuits au lodge)
l’idée générale de cet exemple de 8 jours est de montrer toute la grandeur et la variété de la région des Radamas entre navigation, contemplation et ballades terrestres de plusieurs heures. Plages désertes, anses sauvages, villages insoupçonnables, découverte sous-marine en PMT, mangroves, forêts primaires, estuaires mystérieux, … Ce voyage vous propose de découvrir la faune et la flore marines et terrestres spécifiques de cette région in visitée, mais aussi de découvrir la culture au quotidien des malgaches sakalavas qui y vivent puis de clôturer ce beau voyage par un séjour au Naturalia Lodge.
Le Naturalia Lodge est situé sur la « Grande Terre » à environ une heure de vedette rapide au sud de Nosy Be, juste en face de l‘ile de Nosy Iranja. Entre collines verdoyantes et eaux turquoises, le lodge est posé en bordure d’une immense plage de 14 kilomètres quasi déserte. La forêt de Sorony qui le surplombe est très riche en faune et flore endémiques (nombreux oiseaux, lémuriens diurnes et nocturnes…).
Un petit bout de paradis pour les amateurs de Robinsonnade et probablement l’une des structures les plus originales de la région.
Comme tous les voyages que nous organisons, le contenu de ce voyage reste à écrire au cours…. de celui ci précisément ! Nous pouvons déjà, bien sûr, donner une articulation raisonnable concernant l’itinéraire, ainsi qu’un certain nombre d’activités prévisibles. Mais ce qui donnera la véritable forme à ce voyage, son âme en quelque sorte, c’est cet imprévisible Madagascar dans l’intimité duquel nous serons plus que jamais.
This example of a cruise only serves to give an idea of the constitution of a trip according to its duration. It should not be taken literally. The “scheduled” stopovers can be modified at any time by our guides according to the direction of the wind, the tides or simply the desires of each one. The goal of the game is to make you live the most beautiful trip possible in a truly wonderful world that we are still the only ones to frequent…..
3 heures de traversée au cours desquelles nous allons à la rencontre de tout ce qui bouge sur la mer (pirogues de pêcheurs, boutres lourdement chargés, baleines, requins baleine, tortues, goélettes aux voiles généreuses). Plongée en apnée au passage sur de petits récifs faciles d’accès et peu profonds. Nous débarquons sur la plage d’Anjiabé qui étale son sable blanc sur des kilomètres. Le lagon est superbe et sauvage, la brousse derrière est immense, et nous sommes bien les seuls à en profiter. Farniente ou balade aux alentours pour découvrir ce qui s’y cache. Dans tous les cas, l’imprévu sera notre allié. Apéritif, repas, causeries accompagne ce début de soirée vraiment en brousse.
Lever 6h00, et départ matinal pour trois heures de traversée, longeant une côte splendide au relief varié et boisé. Nous plongeons en cours de route sur un site tout à fait différent de la veille, en bord de côte. Nous ne cherchons pas à visiter systématiquement des spots de plongée chatoyants et colorés, car nous préférons montrer la diversité sous marine par tous les aspects de biotope qui caractérisent si bien la région que nous visitons. Puis, à la voile ou au moteur, nous poursuivons notre voyage vers Ambatofotsy. Le village d’Ambatofotsy s’étire tranquillement au ras d’une longue plage dorée. C’est un site important concernant les traditions Sakalavas, toujours vivantes, de la lignée royale locale. Les habitants, comme d’habitude, sont adorables. Le village est charmant, et les environs offrent un point de vue splendide. Nous nous promenons dans un univers où les roses et les verts soulignent poétiquement la grâce de l’immensité que nous devinons. Les lémuriens diurnes traversent souvent ce village en fin d’après midi jusque tard dans la nuit, et une autre espèce nocturne, plus petite, s’amuse souvent à voler le vin de palme qui coule des fleurs des cocotiers juste au dessus de nos têtes. Le soir, apéro, repas et excellente soirée à la lumière des lampes tempête.
Départ en fonction de la marée, plus ou moins tôt le matin, vers l’Île la plus au Nord de l’archipel des Radama. (1h30 de traversée). Nous plongeons aux abords de notre première île des Radamas. Les coraux ne sont plus les mêmes, car nous sommes à proximité des bancs du large qui nous narguent à quelques kilomètres vers l’ouest. Nous sommes sur Nosy Ambariopôtaka qui culmine à 166 mètres d’altitude et compose un paysage encore nouveau. le sable blanchit, les cocotiers sont nombreux, et nous bivouaquons face à l’immensité océane du canal du Mozambique. Cocotiers, construction de boutre et de pirogues selon des rites séculaires. Nous sommes au vingt et unième siècle, mais rien ne semble avoir changé pour les quelques habitants de ce petit paradis. Tout le monde a pris sa place dans notre voyage, et chacun savoure à sa manière les heures qui passent. Première nuit dans les Radama, nos rêves blottis au creux du cœur, confiants, nous nous endormons.
Nous embarquons vers 8h00 pour, à la voile ou à moteur, descendre un peu plus vers le sud. L’objectif est une autre île, Antanifaly ( cela signifie « l’endroit facile, heureux ») que nous voyons au loin et que nous atteignons 1h30 plus tard. Plongée pour le plaisir et pour le repas au bord du récif de ce lagon encore différent de tout ce qu’on a vu. Puis en fonction de la marée, nous rentrons plus ou moins profondément à l’intérieur de ce lagon lumineux. Le camp est cette fois ci sous un grand amandier tropical au bord d’une immense plage de sable blanc. Le parfum est océanique, la plage est sauvage…le blanc et la lumière domine…de curieux petits oiseaux courent au ras de la marée…nous sommes sur l’île la plus avancée vers l’Afrique. La nature semble plus aride, et pourtant nous nous baignons dans une source d’eau limpide , sous l’œil attentif d’un martin chasseur ou d’un gobe mouche du paradis. A ce stade du voyage chacun fait ce qu’il lui plait, entre mer et balade vers le sommets ( 146 mètres…) ou autour de l’île. Nous retrouvons nos rituels du soir pour une nuit dont le contenu, comme souvent, dépendra de l’histoirte de notre journée. Bonne nuit ! et à demain !
Nous restons basés sur notre île, ce qui permet à chacun d’organiser sa journée comme il le désire.Contents de nous poser un peu, nous profitons d’Antanyfaly entre baignade, snorkeling et balades sur les sommets accessibles de cette ile si attachante. Nous escaladons des pentes herbeuses dont les aloës épars et les bouquets de manguiers placent notre imagination confondue entre Afrique et Mexique… le panorama est grandiose et troublant. Pour ceux qui le souhaitent, le petit bateau annexe peut nous emmener plonger sur les jolies « patates » de corail du récif qui borde la plage.Quand les dernière lueurs du soleil couchant se dissipent nous prenons conscience que nous ne sommes plus tout à fait les même qu’il y a quatre jours ; l’âme de ce pays nous semble plus proche, mieux dessinée. Vivement demain !
Après un lever bien matinal, nous nous rendons vers Nosy Berafia (45min), la plus grande Île de l’archipel des Radama (2500 ha). la moitié Sud est couverte de plantations plus ou moins abandonnées (café, poivre, ylang-ylang, piment), elles mêmes dominées par de grands arbres ombriers. Des chauves-souris énormes et frugivores par dizaines, des pigeons verts, des parfums enivrants, la maison coloniale du « commandeur » de cette ex-concession et un grand village. Tout pour nous plonger dans un charme exotique et colonial des années 20. Nous plongeons sur un site encore différent et très riche au bord du lagon de Nosy Bérafia. En fonction de la houle et du vent, nous pouvons également faire une plongée découverte sur le banc « de corail noyé » qui nous nargue depuis hier…. C’est à voir entre nous en fonction des circonstances. A terre, nous nous baladons sur les collines rouges à la surface desquelles brillent des milliers de diamants… Nous contemplons un paysage splendide sur tout le bassin des Radamas…exceptionnelle beauté que bien peu de témoins ont eu l’honneur de contempler. Nous sommes dans un paysage de vallons boisés, de terre rouge, de cocotiers, de forêts, de luxuriance, et de zébus …… rencontres avec la brousse, les gens, et découverte à pied de cette île étonnante. On en profite aussi pour refaire quelques réassortiments de produits de base, car il y a une « boutique » sur cette île… A la nuit, on se retrouve à l’apéro sous les cocotiers. Les pirogues des pêcheurs forment des ombres étranges sur le sable, et quelques enfants nous regardent timidement à distance ; ils sont prêts à éclater de rire à la première occasion, au premier regard ! Discutions sous les étoiles, rigolades, tapas, caïpirinia, repas de notre pêche, avant d’aller se coucher avec le bruit du ressac dans la tête. A demain !
Nous quittons Berafia pour environ deux à trois heures de traversée vers Ambariomena et nous plongeons en cours de route, en fonction de nos envies soit au bord d’une île au passage, soit au bord de la Grande Terre que nous somme en train de rejoindre vers le Nord. Arrivée en fin de matinée à Ambariomena. Nous sommes au creux d’une sorte de fjord malgache tranquille comme un lac, bordé de petites plages de sable orangé, le tout dominé par une forêt abrupte et sillonné par des langues de grès rosés. Ce bras s’enfonce ensuite profondément dans un dédale de palétuviers pour finir en rivière aux pieds de monts couverts de forêt primaire. Nous installons notre camp à côté d’ un petit village très calme, et, en fonction des marées, l’après-midi, nous remontons le bras de mer juste derrière ….l’eau se fait de plus en plus mince au milieu de cet enchevêtrement de mangroves surréalistes….la vie, pourtant intense, se fait discrète… tout ou presque est nurserie ici…..tout est étrange, fragile ! Nous rejoignons notre camp dans la lumière rasante du crépuscule qui illumine des roses et des verts à n’en plus finir. Le soir, nous échangeons nos impressions sur ce lieu splendide qui regarde passer en silence les boutres, les pirates, et les aventuriers de tout bord depuis des siècles. Repas sous les étoiles, environnés par les bruits de la forêt et, bonne dernière nuit, bercés par les sons du village.
Départ de bonne heure comme d’habitude pour matinée pleine de surprises même si c’est la dernière. Nous plongeons en cours de route pour nous rafraîchir, nous régaler les yeux, et attraper éventuellement de quoi faire une gourmandise. Mais à ce stade du voyage, ce sont les yeux qui comptent. Farniente, baignade et plongée avant un dernier apéro à bord, puis, nous posons l’ancre devant le magnifique Naturalia Lodge vers 11H30, Atterrissage aux bons soins de Loic et Valérie, vos nouveaux hôtes
Bonjour à toute l’équipe d’Alefa !
Nous avons terminé notre séjour à Madagascar, des souvenirs pleins la tête, au terme d’un voyage exceptionnel avec votre équipage. Tout le monde a été d’une bienveillance incroyable avec nous tous et Jacky aura à jamais marqué nos esprits par sa gentillesse et son sens du partage, nous avons énormément appris à ses côtés.
Abdou nous a régalés avec ses petits plats, Mando et Majid discrets mais super efficaces, Silvano et son rire (oh là les gars, y sont où les ampoules ?) et son déhanché inoubliables et Alberto, flegmatique et doux.
Dom, Angie, Nicolas, Jo Black, Hafsa, merci également pour votre accompagnement en amont de cette aventure humaine incroyable.
Nous avons vu l’action d’Alefa dans les villages (puits, panneaux solaires, préaux), votre engagement est remarquable.
Belle continuation à tous et encore merci de nous six.
Christian, Alex, Muriel, Emmanuel, Jeanne et Manuela
Hello,
Je pense que ces quelques jours à bord de la Pirogue est un de nos meilleurs souvenirs de notre voyage à Madagascar!
Merci de nous avoir fait vivre cette expérience, hors du temps.
Nous ferions bien un retour dans le temps pour y retourner!
Nous avons partagé l’adresse à nos amis réunionnais qui projettent de venir vous voir, sans doute après les éléctions!
Voici quelques photos que vous pouvez bien sur partager si le coeur vous en dit!
Misotcha betsika!!
Amélie Benjamin et les 3 artistes
Bonjour à toute l’équipe Alefa,
Encore un dernier mot après notre atterrissage (avec le mal de terre) et quelques jours pour ne plus tanguer et reprendre le cours de notre existence… Pour vous redire quel plaisir on a eu à vivre cette expérience, mais aussi faire un coucou tout particulier à Nicolas, puisque le hasard ne nous a pas permis de nous croiser ; Non que j’aie eu spécialement envie de jouer aux vieux combattants et se remémorer notre « plouf », mais pour lui dire combien j’admire la manière dont il mène sa(ses) barque(s) depuis toutes ces années. J’ai retrouvé les sensations ébauchées il y a 23 ans et dont j’avais gardé une frustration de n’avoir pu les vivre pleinement. C’est exceptionnel d’avoir maintenu un tel niveau de passion, de responsabilité, de générosité et d’énergie dans ce que vous offrez, tant à nous qu’aux femmes et hommes qui nous accueillent dans leur environnement. On sent cette formule magique dans l’esprit de l’équipage aussi, alors encore bravo à vous deux Dom et Nicolas. On est très heureux d’avoir inauguré cette nouvelle saison, on a senti l’équipage également joyeux et super motivé.
Après toutes ces épreuves et vos efforts pour maintenir cette super entreprise à flot, on vous souhaite une belle réussite, que ça continue encore et encore…
Mary & François (dit katakata lahy)
Aussi, un grand salut à l’ancien combattant Bruno que j’ai revu avec plaisir et émotion…
Semaine extraordinaire !
Semaine de rencontres, découvertes, partage, émerveillement, rires, fous-rires avec un équipage en or!
Un énorme merci à Jacky de nous avoir si bien chouchoutés.
Un grand merci à Simon de nous avoir autant régalés.
Un grand merci à Zozo de nous avoir fait beaucoup rire.
Un grand merci à Jamil pour son côté pince sans rire et les super poissons pêchés.
Un grand merci à Stéphane d’avoir été au petit soin pour nous.
Un grand merci à Claude de nous avoir si bien fait naviguer.
Nous avons la chance d’avoir déjà beaucoup voyagé … et, très peu souvent, nous avons eu la chance de ne croiser aucun touriste durant 5 jours et être autant dans le partage.
Nous gardons très précieusement tous ces souvenirs en tête.
Bravo et merci à vous et Alefa pour ce que vous faites.
Charlotte & Olivier
A Dominique , notre bonne organisatrice
Rate indicated / pers / day
Half-price for the children
*Alefa commits to reducing the tariff to 135 € / day / person dhow if others join the circuit.
Rate indicated / pers / day
Half-price for the children
*Alefa commits to reducing the tariff to 108 € / day / person canoe if others join the circuit.
Your luggage should ideally weigh 12 kg maximum due to the numerous transshipments and portages. We recommend a classic travel bag or a
The island of Nosy Bé, in the northwest of Madagascar, is the starting point for our trips to the Malagasy “Great Land” Our universe
On parle ici du peuple Sakalava de la région côtière du Nord-Ouest de Madagascar comprise entre Nosy Be et Majunga (400 km de côte). Physiquement,
Durant chacune des croisières que nous proposons sur le Nord de Madagascar, nous nous levons de bonne heure (6 h00 environ), car il faut partir
What is a dhow? These are solid, good-running boats, intended for transport; and their shallow draft allows them, as
La pirogue Sakalava fait partie de la grande famille « des pirogues à balancier » que l’on trouve principalement en Asie, en Polynésie et en