Une journée type avec Alefa
Durant chacune des croisières que nous proposons sur le Nord de Madagascar, nous nous levons de bonne heure (6 h00 environ), car il faut partir
Embarquer à bord d’un bateau tout droit sorti d’un conte des milles et une nuits, et partir pour un voyage fabuleux à la découverte d’une région inaccessible par la terre (la seule route est à 40 kms à vol d’oiseau…. !). La mer est la seule voie d’accès à ce monde préservé, décalé, et tout à fait hors normes. Une côte mystérieuse, et époustouflante de beauté, qui bénéficie d’un climat à la douceur légendaire.
Nous vous proposons d’équilibrer ce voyage entre la découverte de l’aspect maritime de cette région méconnue, et la découverte de l’aspect plus terrestre, et encore plus mystérieux juste en retrait de la même région. Tout au long de ce voyage nous alternerons donc une journée maritime (6 à 8 heures à bord du boutre dont 1h00 à 1h30 de plongée apnée, et tout le reste du temps à terre) et une journée de trek (entre 4 et 6 heures de marche réparties sur toute une journée). Au total nous aurons 5 jours de découverte maritime-terrestre, et 3 jours résolument typés terrestre.
Dans tous les cas notre « philosophie du voyage » sera la même ; entre efforts physiques bien réels et contemplation, respirer sous plusieurs angles cette Grande Terre in visitée, la regarder, l’entendre, et ainsi, tranquillement, au fil des rencontres et des sensations, lui donner sa vrai forme. Nous regarderons bien au-delà de nos pieds et nous garderons tous nos sens en éveil.
Pour accentuer cette incursion culturelle, nous pêcherons et chasserons notre poisson, et parfois nous achèterons aux villageois et aux pêcheurs de rencontre.
Nous serons opportunistes sur tous les sujets, et nous chercherons par tous les moyens à nous approcher au plus près de ce monde porteur de rêves. Tant sur terre qu’en mer, notre programme sera malléable, et nous nous adapterons aux imprévus, car il s’agit avant tout pour nous de réaliser un vrai voyage de découverte totalement hors des sentiers battus.
Nous cultiverons également un certain art de vivre qui visera à démystifier certains clichés de l’aventure. Nous tâcherons donc de bien manger en toutes circonstances, et nous cultiverons les tapis volants, coussins, théières, parfums d’épices, apéros suaves, douches variées, fruits, sourires et bonne humeur !
Cet exemple de croisière ne sert qu’à donner une idée de la constitution d’un voyage en fonction de sa durée. Il ne faut pas le prendre à la lettre. Les escales “prévues” pourront être modifiées à tout moment par nos guides en fonction de l’orientation du vent, des marées ou tout simplement des envies de chacun. Le but du jeu est de vous faire vivre le plus beau voyage possible dans un monde effectivement merveilleux que nous sommes encore les seuls à fréquenter…..
6h00 du matin, embarquement à bord du boutre. Nous prenons le petit déjeuner sur notre bateau pour profiter au mieux du calme matinal. Nous remontons l’ancre vers 6h45 pour environ trois heures trente de traversée avant de rejoindre notre premier site de plongée. C’est notre premier jour également, et trouver du poisson n’est pas encore une nécessité. C’est donc surtout pour le plaisir des yeux que nous plongeons en apnée au dessus de nos premiers coraux (plongée entre deux et cinq mètres de profondeur). Chacun prend sa place à sa façon, nous sommes vraiment partis, nous sommes en pleine brousse, et l’immense Grande Terre n’est plus un paysage lointain. Vers 11 h00, nous repartons vers le Sud pour rejoindre notre premier bivouac. Le vent thermique quotidien vient de se lever, et c’est à la voile (si le vent est dans le bon sens !) ou au moteur que nous rejoignons notre premier bivouac. Anjiabé est une longue plage de sable blanc bordée par une cocoteraie abandonnée. Un site aux marées basses extraordinaires où vivent plusieurs dizaines d’espèces d’oiseaux, pour la plus part endémiques (uniquement présents à Madagascar). Nous déjeunons à bord, au dessus d’un lagon damé de bleus et de verts . Débarquement vers 14h00, et, après une bonne douche à l’eau douce au puits du coin, petite balade pour découvrir un peu mieux ce qui nous entoure et ce qui nous attend demain : une montagne verdoyante de 700 m de haut là bas, de l’autre côté de la baie ! Apéro dans les lumières du couchant, repas, causeries, rêveries et bonne nuit à tous !
(6h00 de marche au total) Petit déjeuner à 5h30, puis, vers 6h30 nous embarquons à bord de l’annexe pour traverser une baie très abritée de 2 kms de large. Nous débarquons 20mn plus tard sur la plage de Milorano, point de départ de notre marche du jour. L’objectif est de nous rendre sur cette très belle montagne appelée Andranomatavina (là où l’eau est abondante). Nous partons à la découverte d’une ravine sacrée particulièrement importante pour la religion Sakalava qui est de type shamanique .Protégée depuis la nuit des temps par de nombreux « fady » (tabous ), la forêt primaire y est remarquable. Après deux bonnes heures de marche, nous atteignons les pieds de cette montagne entourée de magie. Les blancs qui ont visité cet endroit hautement sacré se comptent sur les doigts des deux mains tout au plus. De gros rochers moussus, des arbres, et des sangsues…. ue du bonheur ! Ici, l’endémie végétale est très proche des 100%. Tout devient extraordinaire. Nous nous baladons tranquillement dans cet univers par facile mais splendide. Nous déjeunons au bord du torrent, et nous écoutons chacun à notre manière cette forêt absolument unique au monde. Vers 14h00 nous commençons notre marche de retour vers Milorano où notre bateau nous attend. Pendant notre balade les marins ont changé de lieu de bivouac, et c’est dans le village d’Amporaha , tout proche, que notre nouveau campement nous tend les bras. Après 5 minutes de traversée, environnés par les lumières du couchant, nous débarquons. Rencontres de village, douche, farniente, apéro et repas. On commence à mieux se connaître, chacun sent que le voyage vient de vraiment commencer. A demain
Lever 6h00, petit déjeuner, et embarquement pour une journée encore différente. Nous longeons une côte ourlée de plages et de massifs forestiers plus ou moins intacts. On distingue parfois un hameau, quelqu’un qui marche sur une plage immense, le paysage est élégant, gracieux même. Nous plongeons en cours de route dans un univers aquatique complètement différent de l’avant veille, puis vers 11h00, à la voile probablement, nous rejoignons toujours plus au sud, Ambatofotsy. Il s’agit d’un petit village qui a la particularité, outre son charme naturel, d’abriter la demeure royale ainsi qu’un « temple » à reliques. Attention, ici rien de spectaculaire, même si nous sommes au cœur du petit royaume Sakalava sur lequel règne le roi Mohamady qui doit son nom arabe à une vieille histoire de familles, de guerres, et de rois bien sûr ! Un territoire en forme de ruban étroit de soixante dix kilomètres sur vingt. Le rôle du roi concerne essentiellement les rapports entre les hommes et le sacré ou les petits litiges dans la vie quotidienne de ces gens honnêtes, doux, gentils, fins, timide, réservés, souvent, et spontanément débridés parfois sans aucune réserve. Nous débarquons à Ambatofotsy en début d’après midi, et nous installons notre camp au cœur de ce village calme et serein. La douche est encore différente, c’est celle du village….. Des enfants, les raphias, cette lumière tellement malgache, des rires, un chant bizarre d’oiseau invisible, le ressac de la mer en retrait, et cette immensité, partout. Le coucher du soleil n’est pas loin….Contemplation….décontraction…et le reste, comme d’habitude, ou presque.
( 6h00 de marche au total ) Lever 5h30 , puis , après un bon petit déjeuner, nous partons vers Ambariojeby, grand village inaccessible par la route, mais représentant un bassin agricole majeur dans la région. Au début de notre marche nous contournons un vaste bassin de mangroves avant d’attaquer quelques collines découvrant un paysage prometteur. La région est semi montagneuse, entrecoupée de raphières (ensemble de palmiers raphias), de forêts arbustives, de petits hameaux, de champs et d’histoires. Nous sommes environnés de rouges et de verts, et nous marchons sur un sentier majeur utilisé depuis des siècles par la population locale. Nous croisons des gens, des pintades, des lémuriens, des zébus, des odeurs, des curiosités, et notre lecture en filigrane de cette vie Sakalava s’étoffe encore un peu plus. Nous arrivons en fin de matinée dans ce monde où on cultive sous de grands arbres à ombrage, du café, du poivre, de la vanille,des orangers, et nous nous baladons au milieu du riz, du manioc, de l’arachide, des bananes, et de la canne à sucre. Déjeuner aux abords du village, entourés de quelques enfants curieux : ils ne voient jamais d’étranger, et notre présence étonne tout le monde ici. Nous quittons ce calme champêtre vers 14h00, car nous avons quand même deux heures et demi de marche avant de retrouver nos cocotiers. On a la tête pleine, un peu fatiguée aussi. Mais l’apéro est le bienvenu avec son cortège de gourmandises. Les lémuriens nocturnes font beaucoup de bruits, mais cela ne nous étonne plus vraiment. On parle d’aujourd’hui, on parle de demain, on parle….bonne nuit à tous !
Lever comme d’habitude, et vers 8h00 nous sommes à nouveau sur notre boutre qui ne demande qu’à aller de l’avant. Aujourd’hui nous allons vers la plus grande île de l’archipel des Radamas : Nosy Bérafia. Après deux heures de traversée nous plongeons aux abords de cette île juste à côté de notre point de bivouac du jour. Pêche, chasse sous marine, et baignade avant de rentrer dans le petit lagon de Maroentendry. Ce petit village est notre porte pour approcher cette vaste île au rouge bien malgache. Mais au delà de cette terre si caractéristique, Nosy Bérafia est une île vallonnée et semi boisée, tout en longueur, sans véritable hauteur ( 150 m maximum ). Depuis le début du siècle, des français, puis des indopakistanais ont dirigé de vastes projets agricoles sur cette terre très fertile. Les échecs économiques de Madagascar et sa mise à l’écart du commerce international ont fini par émousser ces belles entreprises de développement, et Bérafia est retournée à ce qu’elle était : une île très belle, et le foyer absolu de la religion Sakalava locale. Nous y débarquons en tout début d’après midi. Farniente, petites balades causeries et baignades nous occupent jusqu’au coucher du soleil avant de déguster le restant de notre pêche du jour. Bons rêves sous les étoiles, et bon réveil !…. comme disent les malgaches.
(4h00 de marche au total ) Lever vers 5h00 pour profiter au mieux des températures douces du matin. Nous sommes au Nord de l’île et nous marchons vers le sud. Le quartz est à fleur de terre, parfois même des améthystes claires apparaissent .Des chauves souris frugivores par dizaines, même la journée, des petits cailles rondouillardes à quelques mètres devant nos pieds, des pigeons tout verts qui chantent bizarrement, et nos sempiternelles pintades qui s’envolent comme des faisans. Nous croisons la vie sous toutes ses formes avant d’arriver aux pied du village sacré Mahabo. C’est ici que sont enterrés tous les rois, les princes et les princesses de la ligné royale concernée. Très peu de blancs ont pu visiter cet endroit, aussi, nous aurons quelques consignes à respecter pour ne pas perturber ce lieu hautement sacré. Les manguiers sont centenaires, et certains vieillards le semblent aussi. Nous sommes au sommet de Bérafia, et la vue est imprenable….c’est splendide. Nous déjeunons au bord de la mer juste en dessous avant de rejoindre vers l’ouest le « Magazin » qui n’en est pas un bien entendu. Il faut entendre par là un vieux terme colonial désignant les hangars de stockage de matériel et autres produits agricoles. Une bonne heure de marche au milieu du parfum des ylang-ylang , poivriers et autre vanille plus ou moins abandonnés avant de surplomber la mer où notre boutre nous attend. Nous contemplons ce paysage de comptoir d’Afrique du haut de l’ancienne maison du directeur de concession ; parfums d’avant guerre, parfums d’un autre temps comme en témoigne la très veille carcasse d’un tracteur à bout de souffle. Après une petite visite au village, nous regagnons notre boutre pour rejoindre au plus court et par la mer, notre camp au Nord de l’île. Douche, baignade, apéro, farniente, rigolade et causeries nous occuperont tous jusqu’à ce que nos yeux se ferment, chacun à notre rythme. A demain !
Après le petit déjeuner habituel et le chargement du boutre, nous quittons notre lagon pour plonger dans les environs en attendant notre heure ….. Notre heure sera celle de la marée montante, car l’étape du jour se trouve au bout d’un réseau de mangroves totalement asséché à marée basse. Nous parcourront donc ces quelques trente kilomètres qui nous séparent de l’embouchure de Kotongony en milieu de marée montante. Nous aménageons nos activités de plongée, de pêche, et de farniente en fonction de ces impératifs. Kotsongony est un hameau, un lieu dit qui nous permet d’accéder à la terre sur cette côté bordée de mangroves. L’arrivée est splendide, totalement hors du temps. Une sorte de port naturel à l’état brute aux alentours duquel nous monteront notre camp. Nous resterons deux jours ou presque, en fonction des marées, car notre objectif est tout à la fois de découvrir un nouvel univers, et de rencontrer des lémuriens aux yeux bleus ( non encore clairement répertoriés et découverts en 2003,ces animaux très calmes sont les seuls lémuriens possédant des yeux bleus. Ils sont vraiment bleu ciel, ce qui leur donne un regard particulièrement surréaliste.) Nous ne sommes pas dans une réserve , et notre rencontre avec ces lémuriens très particuliers prendra en fonction du jour et de la saison entre 1heure et 4 heures d’errance dans cette brousse généreuse. Les Sakalaves d’ici sont au cœur de la tradition shamanique locale,. On ne voit jamais de blanc par ici, jamais d’administration non plus, trop reculé, trop de récifs devant l’embouchure , trop de collines derrière, pas assez de routes….. On passe notre temps à respirer tout ça, et on peut aussi pêcher , se baigner dans un cours d’eau douce généreux, observer la vie du hameau, ou admirer tout simplement ce paysage de bout du monde. Nous sommes au plus profond du bassin des Radamas, et il faut en profiter !
Il se peut, qu’en fonction des heures de marée et de leur coefficient, nous soyons obligé de quitter Kotsongony dans l’après midi de ce huitième jour. Dans ce cas, nous irons dormir ailleurs en montant un camp « vite fait » au ras de la nuit. Bref, on s’adaptera, et cela ne changera pas grand choses au programme de nos activités prévues.
Aujourd’hui nous remontons nettement vers le nord ( environ 5 heures de navigation ) pour rejoindre une sorte de fiord malgache tranquille comme un lac, bordé de petites plages au sable orangé, dominé par une forêt primaire dense. Ce fiord s’enfonce ensuite profondément dans un dédale de palétuviers pour finir en rivière aux pieds de monts couverts de forêt primaire. Nous installons cette fois notre camp à l’entrée de cet estuaire, puis, si la marée le permet, nous remontons plus ou moins profondément un bras de mer … l’eau se fait de plus en plus mince au milieu de cet enchevêtrement de mangroves surréalistes… la vie, pourtant intense, se fait discrète… ici, tout ou presque est nurseries, tout est étrange, fragile ! Nous retrouvons deux heures plus tard notre camp dans la lumière rasante du crépuscule. Le paysage est doré, la lumière est presque trop belle, elle nous ensorcelle… On a l’impression que tous ces verts et ces roses sont comestibles. Le soir nous retrouvera pour la dernière fois de ce voyage environnés de douceur et d’harmonie, et nous contemplerons ce que cette baie regarde depuis des siècles : des boutres, des goélettes, des aventuriers, et des pirates qui viennent se cacher des caprices de la mer. Petits brasiers fragiles dans la nuit, rires lointains, odeurs de fumée, silences, la sensation que peu de choses ont changé …. La sensation que nous ne sommes plus tout à fait les mêmes non plus.
Aujourd’hui, lever tranquille un peu plus tard que d’habitude. Mais le voyage n’est pas fini car il nous reste quelques heures devant nous avant de rejoindre Nosy Bé. Nous ne sommes pas vraiment obligé de chasser et pêcher notre poisson aujourd’hui, et nous allons surtout chercher à visiter un site corallien particulièrement magnifique et accessible. On en profite au maximum, et ceux qui veulent se dégourdir les jambes sur une jolie plage le pourront. Apéros, tapas, souvenirs et rigolades accompagnent notre dernier repas, puis, confortablement assis sur nos tapis et nos coussins nous hissons nos voiles. Le chant des cordages, le paysage grandiose, le grincement des poulies sous l’immense vergue, les lourdes voiles de coton….Tout, comme par magie nous ramènera à la nuit des temps… pour quelques heures encore. Tranquillement poussées par ce vent thermique délicieux, nous touchons Nosy Bé dans les lumières du couchant, vers 17 h 00.
Bonjour à toute l’équipe d’Alefa !
Nous avons terminé notre séjour à Madagascar, des souvenirs pleins la tête, au terme d’un voyage exceptionnel avec votre équipage. Tout le monde a été d’une bienveillance incroyable avec nous tous et Jacky aura à jamais marqué nos esprits par sa gentillesse et son sens du partage, nous avons énormément appris à ses côtés.
Abdou nous a régalés avec ses petits plats, Mando et Majid discrets mais super efficaces, Silvano et son rire (oh là les gars, y sont où les ampoules ?) et son déhanché inoubliables et Alberto, flegmatique et doux.
Dom, Angie, Nicolas, Jo Black, Hafsa, merci également pour votre accompagnement en amont de cette aventure humaine incroyable.
Nous avons vu l’action d’Alefa dans les villages (puits, panneaux solaires, préaux), votre engagement est remarquable.
Belle continuation à tous et encore merci de nous six.
Christian, Alex, Muriel, Emmanuel, Jeanne et Manuela
Hello,
Je pense que ces quelques jours à bord de la Pirogue est un de nos meilleurs souvenirs de notre voyage à Madagascar!
Merci de nous avoir fait vivre cette expérience, hors du temps.
Nous ferions bien un retour dans le temps pour y retourner!
Nous avons partagé l’adresse à nos amis réunionnais qui projettent de venir vous voir, sans doute après les éléctions!
Voici quelques photos que vous pouvez bien sur partager si le coeur vous en dit!
Misotcha betsika!!
Amélie Benjamin et les 3 artistes
Bonjour à toute l’équipe Alefa,
Encore un dernier mot après notre atterrissage (avec le mal de terre) et quelques jours pour ne plus tanguer et reprendre le cours de notre existence… Pour vous redire quel plaisir on a eu à vivre cette expérience, mais aussi faire un coucou tout particulier à Nicolas, puisque le hasard ne nous a pas permis de nous croiser ; Non que j’aie eu spécialement envie de jouer aux vieux combattants et se remémorer notre « plouf », mais pour lui dire combien j’admire la manière dont il mène sa(ses) barque(s) depuis toutes ces années. J’ai retrouvé les sensations ébauchées il y a 23 ans et dont j’avais gardé une frustration de n’avoir pu les vivre pleinement. C’est exceptionnel d’avoir maintenu un tel niveau de passion, de responsabilité, de générosité et d’énergie dans ce que vous offrez, tant à nous qu’aux femmes et hommes qui nous accueillent dans leur environnement. On sent cette formule magique dans l’esprit de l’équipage aussi, alors encore bravo à vous deux Dom et Nicolas. On est très heureux d’avoir inauguré cette nouvelle saison, on a senti l’équipage également joyeux et super motivé.
Après toutes ces épreuves et vos efforts pour maintenir cette super entreprise à flot, on vous souhaite une belle réussite, que ça continue encore et encore…
Mary & François (dit katakata lahy)
Aussi, un grand salut à l’ancien combattant Bruno que j’ai revu avec plaisir et émotion…
Semaine extraordinaire !
Semaine de rencontres, découvertes, partage, émerveillement, rires, fous-rires avec un équipage en or!
Un énorme merci à Jacky de nous avoir si bien chouchoutés.
Un grand merci à Simon de nous avoir autant régalés.
Un grand merci à Zozo de nous avoir fait beaucoup rire.
Un grand merci à Jamil pour son côté pince sans rire et les super poissons pêchés.
Un grand merci à Stéphane d’avoir été au petit soin pour nous.
Un grand merci à Claude de nous avoir si bien fait naviguer.
Nous avons la chance d’avoir déjà beaucoup voyagé … et, très peu souvent, nous avons eu la chance de ne croiser aucun touriste durant 5 jours et être autant dans le partage.
Nous gardons très précieusement tous ces souvenirs en tête.
Bravo et merci à vous et Alefa pour ce que vous faites.
Charlotte & Olivier
A Dominique , notre bonne organisatrice
Tarif indiqué / jour / pers.
Demi-tarif pour les enfants de moins de 12 ans
*ALEFA s’engage à ramener le tarif à 135 € /J / pers en boutre dans le cas où d’autres personnes se joignent au circuit. Le trop perçu est alors remboursé
Tarif indiqué / jour / pers.
Demi-tarif pour les enfants de moins de 12 ans
*ALEFA s’engage à ramener le tarif à 108 € / jour / personne en pirogue dans le cas où d’autres personnes se joignent au circuit. Le trop perçu est alors remboursé
Durant chacune des croisières que nous proposons sur le Nord de Madagascar, nous nous levons de bonne heure (6 h00 environ), car il faut partir
Nous organisons systématiquement un briefing sympathique la veille de chaque départ vers 16h dans nos locaux. Ceci est très important, quelle que soit la durée
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